J'ai l'impression que nous avons déjà tout véçu. Tous les deux. Que le reste, ce n'est qu'un éternel recommencement. Lassant. Eprouvant.
On aurait pu s'aimer mieux, on aurait pu vivre tellement plus, tellement plus beau. Mais j'ai l'impression qu'il est trop tart maintenant. Tout recommence. Et tu n'es plus le même. Qu'avant. Avant tu m'aurais dis 'je t'aime, je t'aime comme jamais, je t'aime pour toujours, arrête de pleurer, c'est pas fini, il nous reste trop de choses à affronter, ensemble'. Avant. C'est ce que tu aurais dis. Ce soir, tu as baissé les yeux. Tu as souris. Une manière de fuir. Jusqu'à quand ? Pour toujours. J'ai l'impression que c'est fini, pour de bon. Mais je m'accroche, je refais surface, je retente le coup. Une dernière fois. Et je suis déçue. Encore une fois.
Tu n'as plus les mots. Les bons. Tu ne sais plus trouver ce qu'il me faut. Si peu. Si peu...
On aurait pu s'aimer mieux, on aurait pu vivre tellement plus, tellement plus beau. Mais j'ai l'impression qu'il est trop tart maintenant. Tout recommence. Et tu n'es plus le même. Qu'avant. Avant tu m'aurais dis 'je t'aime, je t'aime comme jamais, je t'aime pour toujours, arrête de pleurer, c'est pas fini, il nous reste trop de choses à affronter, ensemble'. Avant. C'est ce que tu aurais dis. Ce soir, tu as baissé les yeux. Tu as souris. Une manière de fuir. Jusqu'à quand ? Pour toujours. J'ai l'impression que c'est fini, pour de bon. Mais je m'accroche, je refais surface, je retente le coup. Une dernière fois. Et je suis déçue. Encore une fois.
Tu n'as plus les mots. Les bons. Tu ne sais plus trouver ce qu'il me faut. Si peu. Si peu...
C'est ce que nous sommes, des éternels recommencements, à nous tout seuls.
Fichus.