Je t'aimais. Je t'aimais, tu étais toute ma vie. Un soleil en hiver, un vent frais en été, la lumière de mes nuits, le rêve de mes insomnies. Je t'aimais. Et ça n'a pas suffit. Tu es parti. Tu es parti, tu m'as laissé, là, sur le bas côté. Le coeur ouvert, le coeur en sang, les yeux brouillés, l'esprit vidé. J'ai erré dans ma vie durant des jours, des semaines et des mois. J'ai traîné mes pieds machinalement, sans savoir où aller. J'ai pleuré à m'en noyer les yeux, à m'en creser les joues. Chaque matin j'ai cherché, ton odeur dans les oreillers. Chaque matin. J'ai cherché à entendre ta voix, j'ai voulu retrouver dans la foule, ton regard, ton sourire. La chaleur de ton corps, la douceur de tes doigts. Je n'ai vécu que pour toi. Pendant des mois. C'était la nuit en plein jour, une éternelle éclypse. Ma vie avait un goût de fin du monde. L'apocalypse de mon coeur.
Un jour, le soleil s'est à nouveau levé. Je me suis réveillée, sans un regard sur l'autre côté du lit. Ton côté. Mes yeux secs, mon coeur vide. J'ai relevé la tête. J'ai appris à ne pas regardé en arrière. Et j'ai avancé. J'ai appris à oublier mes sentiments, à oubliers mes souvenirs. Les refouler. Toujours. Toujours. Et à sourire à la vie. Comme on dit. Le temps ferme toutes les blessures , même s'il ne nous épargne pas quelques cicatrices. Ainsi, il suffit d'un détail, pour qu'une larme s'échappe, au milieu d'un mensonge. Une chanson personelle. Notre chanson. Un endroit trop marquant. Une évocation innocente. Mon bonheur n'est qu'un sursit. Un mot de travers et c'est reparti. Mon coeur dans la mélancolie.
Un jour, le soleil s'est à nouveau levé. Je me suis réveillée, sans un regard sur l'autre côté du lit. Ton côté. Mes yeux secs, mon coeur vide. J'ai relevé la tête. J'ai appris à ne pas regardé en arrière. Et j'ai avancé. J'ai appris à oublier mes sentiments, à oubliers mes souvenirs. Les refouler. Toujours. Toujours. Et à sourire à la vie. Comme on dit. Le temps ferme toutes les blessures , même s'il ne nous épargne pas quelques cicatrices. Ainsi, il suffit d'un détail, pour qu'une larme s'échappe, au milieu d'un mensonge. Une chanson personelle. Notre chanson. Un endroit trop marquant. Une évocation innocente. Mon bonheur n'est qu'un sursit. Un mot de travers et c'est reparti. Mon coeur dans la mélancolie.
Bon courage
:)